En partenariat avec le Festival tous courts, dans le cadre de la « Nuit sans faim », une critique de la société de consommation sous la forme d’une fable cinématographique. Le scandale du festival de Cannes 1973, scandale rarement égalé depuis.

Présenté par Sabine Putortì, directrice de l’Institut de l’image.


Soirée organisée en partenariat avec le Festival Tous Courts.

Marguerite, c’est une petite fille filmée par ses parents, en vidéo, la chronique familiale des premiers pas d’un enfant. Le dragon, c’est, du moins dans un premier temps, la mucoviscidose qui emportera Marguerite à l’âge de six ans. Images de quiétude, d’un bonheur fugitif, de la force de l’instant, progressivement contaminées donc par la maladie, l’apprentissage sombre de la souffrance et de sa domination. Images d’une vie en fuite, cette fuite étant posée dès le départ. Mais trop bruyantes, trop vivantes pour se laisser happer par la mort… (Yann Lardeau)

En présence de Raphaëlle Paupert-Borne et de Jean Laube

(en partenariat avec la Galerie 13 du Conseil Général des Bouches-du-Rhône)

TARIF UNIQUE : 3 €

En présence de Joseph Césarini

Lundi 20 juin à 18h, présentation des films d’ateliers que l’Institut de l’Image a menés pendant l’année scolaire :

LA CLASSE et L’HISTOIRE D’UN ESPOIR

Ces films ont été réalisés dans le cadre d’un atelier pilote financé par le Conseil Général des Bouches du Rhône, un atelier de montage, réalisés par des collégiens du Collège Rocher du Dragon avec les intervenants Dominique Comtat, Dorothée Sebbagh, Enrica Gatolini et l’enseignante Corinne Moussard (classe de 4ème)

SUR LE QUAI

Ce film en 16 mm a été réalisé par les élèves de Terminale de l’Option Cinéma du Lycée du Sacré-Cœur avec l’intervenant Florent Ginestet et l’enseignant Max Mauro.

Entrée libre.

Un double programme terrifiant consacré aux fantômes japonais, à l’occasion de la sortie du livre de Stéphane du Mesnildot, Fantômes du cinéma japonais – les métamorphoses de Sadako (éditions Rouge Profond).

Ring (Jap., 1997) 98 min
Réal. Hideo Nakata
Int. Nanako Matsushima, Miki Nakatani, Hiroyuki Shimosawa…
Interdit – de 12 ans
Un soir, seules à la maison, deux lycéennes se font peur en se racontant une histoire. Une étrange rumeur circule à propos d’une cassette vidéo qui, une fois visionnée, déclenche une terrible malédiction : une mort annoncée sept jours plus tard…
Avec Ring, Sadako, sortant de son puits, et s’extirpant de l’écran de télévision, est devenue l’un des plus célèbres fantômes de l’histoire du cinéma. Une image maléfique qui contamine progressivement le monde… et le cinéma tout entier.

Ju-on (Jap., 2002)
Réal. Takashi Shimizu
Int. Megumi Okina, Ito Misaki, Misa Uehara…
Interdit – de 12 ans
Rika, une assistante sociale, se rend dans une maison, sur laquelle pèse une malédiction, pour s’occuper de Sashie, une vieille dame alitée. Elle y découvre un petit garçon enfermé dans un placard, avant d’être agressée par un esprit malfaisant…
Inédite au cinéma en France, la première version japonaise tournée pour le grand écran de The Grudge, dont Takashi Shimizu réalisera une suite au Japon, puis deux remakes aux États-Unis. Autant de classiques instantanés de la J-Horror.

Films présentés par Stéphane du Mesnildot.

Un buffet sera offert entre les deux films.

Soirée organisée en partenariat avec les éditions Rouge Profond.

TARIFS POUR LES 2 FILMS :
Normal 10 €
Réduit (étudiants, Cinétoile…) 8 €
Institut de l’image 5 €

Film présenté par Carlos Fuentes dimanche 16 octobre à 20h, dans le cadre de la Fête du livre (en partenariat avec les Ecritures croisées)

William Kentridge est invité du festival d’Aix pour la mise en scène, vidéo et scénographie de l’opéra de Dimitri Chostakovitch, Le Nez (1930) - livret du compositeur d’après une nouvelle de Gogol. « Connu essentiellement pour ses films d’animation composés de dessins au fusain, cet artiste travaille aussi la gravure, le collage, la sculpture, la performance et l’opéra. Associant le politique et le poétique, William Kentridge entreprend dans son œuvre graphique, comme dans ses installations et ses films, de dénoncer l’apartheid et le colonialisme : "Je pratique un art politique, c’est-à-dire ambigu, contradictoire, inachevé, orienté vers des fins précises : un art d’un optimisme mesuré, qui refuse le nihilisme." » (texte de présentation du Jeu de Paume à Paris)