« La vie est belle (…) est devenu, grâce à la télévision, un des films les plus chers au cœur du public américain. Ce n’est pas seulement un film cruel et chalereux sur la société américaine, c’est une démonstration implacable des mécanismes logiques mais également pervers du cinéma hollywoodien… »
Joël Magny, Les Cahiers du cinéma