"Le vertige du film tient à ce grand écart entre ces actes individuels monstrueux, perpétrés dans la plus grande indifférence morale, et une sorte de fatum qui s’abat sur les individus déjà meurtris par le malheur. Une fois le film terminé, quelque chose comme un frisson métaphysique aura parcouru l’échine du spectateur."
Jean-Sébastien Chauvin, Les Cahiers du cinéma
Suivi d’un débat avec Nicolas Féodoroff, samedi 24 novembre à 20h