« Le film frappe par sa splendeur de fin du monde – teintes fumées, ocres rougeoyants, verts chargés, brouillards et incendies animés par le roulement funeste du destin d’une femme. La violence abstraite des décors (…) compose une vaste toile où la jeune femme finira prisonnière. »
Axelle Ropert, Les Inrockuptibles