« Si Le Pianiste se soucie si peu d’être édifiant, c’est qu’il est d’abord une confession, sans doute non dénuée d’une culpabilité indépassable, d’un créateur qui se doit d’être digne de sa première survie, suivie par d’autres morts et d’autres renaissances. »
Frédéric Bonnaud, Les Inrocks