« Porté par ses constantes recherches visuelles (…) Sokourov fait du portrait de Hiro Hito l’évocation onirique d’un homme-enfant. Le choix de saisir l’empereur au moment où ce dernier renonce à son ascendance divine donne naissance à un pur corps de cinéma traversé de mille courants contradictoires. »
R. Le Toux-Lungo, Critikat.com