« Père, fils donne une fois encore ce sentiment d’oeuvre habitée par quelque chose qui n’est plus tout à fait humain, un hédonisme démoniaque, où l’amour porté aux créatures et aux choses d’ici-bas se double d’une volupté morbide, le désir de pénétrer en tremblant les entrailles rouges de la mort. »
Didier Péron, Libération