« On pourrait considérer Sergent York comme un film moralisateur, dictant la nécessité des États-Unis à s’engager dans la nouvelle guerre européenne déclenchée en 1939. (…) Mais il est judicieux, a posteriori, de voir (…) une autre dimension, plus hawksienne : car le film est pour moitié construit autour de la "révélation" de York et ses combats intérieurs, sa lente évolution vers une meilleure compréhension de l’homme, et surtout, de lui-même… »
Ophélie Wiel, Critikat.com