« En 1948, la grande période du scénariste-réalisateur le mieux payé d’Hollywood, Preston Sturges, est déjà derrière lui. (…) L’auteur de screwball comedy le plus doué de sa génération n’avait pourtant pas dit son dernier mot : la preuve avec cet exercice de style de haute volée. »
Ophélie Wiel, Critikat.com