« Si des opus comme La Horde sauvage, Croix de fer, Chiens de paille ou Alfredo Garcia illustrent pleinement ce que François Causse a appelé « la violence du crépuscule », Pat Garrett… s’attache plutôt à montrer « la lumière du crépuscule » et tout ce qu’elle peut irradier de splendeur et de douleur. »
Frédéric Caillard, Critikat.com