« Toute la chair du film tient non seulement dans la démarche erratique et fatiguée de David Gulpilil, mais aussi dans le lien palpable que la caméra de De Heer maintient avec lui. »
Benoît Smith, Critikat.com
« Toute la chair du film tient non seulement dans la démarche erratique et fatiguée de David Gulpilil, mais aussi dans le lien palpable que la caméra de De Heer maintient avec lui. »