« De ce bavardage digressif (…) jaillit une galerie de portraits en noir et blanc moins souvent anodins que savoureux, qui enluminent la fascination exercée par l’univers musical sur Jim Jarmusch. »
Gilles Renault, Libération
« De ce bavardage digressif (…) jaillit une galerie de portraits en noir et blanc moins souvent anodins que savoureux, qui enluminent la fascination exercée par l’univers musical sur Jim Jarmusch. »