Censurée, remontée plusieurs fois, Klimov livre ici une fresque puissante, acide, hallucinée et baroque sur la fin d’un régime, portée par le jeu habité de Petrenko en Raspoutine.
Censurée, remontée plusieurs fois, Klimov livre ici une fresque puissante, acide, hallucinée et baroque sur la fin d’un régime, portée par le jeu habité de Petrenko en Raspoutine.