« [Arūnas Žebriūnas] invente une sorte de néoréalisme onirique, quelque part entre Allemagne année zéro de Rossellini et le Ballon rouge de Lamorisse. La Belle est un film d’une grâce musicale, où une fillette aimerait ne jamais s’arrêter de danser. »
Marcos Uzal, Libération