« L’Enfance d’Ivan, par la liberté qu’il s’accorde face au genre, est un film qui s’apparente plutôt à une Nuit du chasseur slave (plus métaphysique que féerique), où le regard d’un gamin s’élance à l’assaut blême d’un bois de bouleaux sans début ni fin. »
Isabelle Potel, Libération