« De l’aquarium du générique à la montagne sacrée du dernier plan, toute l’œuvre de Sternberg est contenue dans le film, avec sa cruauté douce, sa moiteur, sa lumière. On trouve peu d’exemples dans l’histoire du cinéma de films conjuguant une aussi grande audace à une maîtrise technique aussi exceptionnelle. »
Pascal Mérigeau, Josef von Sternberg (Edilig, 1983)
En avant-première (ressortie le 5 septembre)