« […] une œuvre-monde qui sonde les paramètres existentiels du mal de vivre plutôt que de s’y abîmer, à la fois ample roman social dressant le tableau circonstancié d’un réseau de désastres locaux et chant de désarroi quasi cosmique - un pied chez Zola, l’autre chez Nerval. »
Julien Gester, Libération