« Le Chat… semble retrouver une structure plus conventionnelle que celle du coup de maître que fut L’Oiseau…. Et pourtant. (…) Car le film construit (…) une sorte de jeu de l’oie métaphysique, un grand huit de la perception imparfaite (…), un parcours où d’illisibles signes sont disséminés. »
Jean-François Rauger