« Outre les décors, riches et soignés, la joviale partition d’Ennio Morricone et, bien évidemment, les interprètes (…) ce que l’on voit, dans Qui a tué le chat ?, c’est (…) une peinture cruelle et grotesque de l’Italie à l’heure où la voracité pécuniaire a pris le pas sous toute autre forme de rapports humains. »
Pierre-Julien Marest, Culturopoing