« Une comédie douce-amère où presque tous les acteurs étaient des amateurs, dirigés selon les méthodes d’improvisation chères au cinéaste. Forman tenta la gageure de très longues scènes sans aucune vraie progression, entièrement basées sur l’irrésolution d’abord burlesque, puis presque angoissante, des personnages. »
Michel Chion