« Si le film est représentatif de l’ère nassérienne dans son exaltation de l’unité arabe et du leader charismatique, c’est surtout un modèle de cinéma épique qui confirme la grandeur de Chahine auteur (…) mais aussi fidèle serviteur des genres, qui trouve ici les moyens et la distribution à sa mesure pour concilier comme personne (Vidor ?) l’individuel et le collectif. »
Serge Chauvin, Les Inrockuptibles