Giono écrit lui-même le scénario en 1962, simplifiant et transformant l’intrigue de son roman jusqu’à en proposer une nouvelle version. « Mon film est tout autre chose que le livre », disait-il, pour parler de cet « autre roi », dans lequel il prête sa voix au meurtrier.
Présenté par Jacques Mény samedi 25 janvier à 18h, et précédé à 16h15 par une lecture par Charles Berling de L’homme qui plantait des arbres (en partenariat avec les Écritures croisées)
Précédé de L’homme qui plantait des arbres dimanche 26 à 14h30