« Dès la première image, on est saisi par la poésie immatérielle (…) de ce décor naturel. (…) les deux metteurs en scène vont nous faire participer à ce drame pathétique où nous serons (…) littéralement envoûtés par la fascination de ces tableaux blancs et noirs. C’est tout simplement une merveille, un chef-d’œuvre. »
Lucie Derain (Cinémonde, 1929)