« Outre la découverte d’un talentueux auteur de 35 ans, (…) Au revoir l’été ouvre une porte sur un cinéma indépendant refusant l’infantilisme d’une bonne partie de la production commerciale japonaise. »
Stéphane du Mesnildot, Les Cahiers du cinéma
« Outre la découverte d’un talentueux auteur de 35 ans, (…) Au revoir l’été ouvre une porte sur un cinéma indépendant refusant l’infantilisme d’une bonne partie de la production commerciale japonaise. »