« Situé dans le milieu de la mode (…), le film invente un univers autonome, hors du temps, où cohabitent êtres humains et mannequins d’osier, mouvement et inertie, vie et mort, un monde purement mental baigné de couleurs irréalistes et guidé par un principe caché, d’une grande cruauté. »
Jean-François Rauger