« Avec Scanners, au demeurant un de ses plus grands succès commerciaux, David Cronenberg referme ainsi le chapitre de la série B horrifique, qu’il aura dynamitée douze ans durant, et ouvre son cinéma à une voie plus ample et ambitieuse, où il s’agira toujours de filmer le monstre à hauteur d’homme et de figurer l’infigurable. »
Fabrice Fuentes, Critikat.com