C’est avec ce chef-d’œuvre que Douglas Sirk tire sa révérence à Hollywood, au mélodrame, au cinéma (il ne réalisera plus que quelques courts-métrages), tout en abordant courageusement les questions de la ségrégation et de l’émancipation.
C’est avec ce chef-d’œuvre que Douglas Sirk tire sa révérence à Hollywood, au mélodrame, au cinéma (il ne réalisera plus que quelques courts-métrages), tout en abordant courageusement les questions de la ségrégation et de l’émancipation.