« Même si les images ophulsiennes n’en sont pas absentes (…) [Paramatta] est une œuvre très sternbergienne : le thème de la femme déchue par amour, dans un cadre tropical oppressant, évoque, à nouveau, Blonde Venus, tandis que certains numéros musicaux sont fort proches (…) de L’Ange bleu. »
Jean-Loup Bourget