« Le film muet à son sommet expressif (…) en 1922 ; l’avènement du parlant en 1933 ; le postcinéma accouché par la télévision en 1960 : Mabuse est le nom de tous les moments-cinéma transitoires. Nul doute que si Lang vivait encore, Mabuse serait déjà revenu pour accomplir aujourd’hui ses forfaits sur la toile, hackeur maléfique. »
Jean-Marc Lalanne, Les Inrockuptibles