« La Drôlesse, c’est parti d’un fait divers qui m’a intéressé. Je me suis penché dessus, et je me suis aperçu que la réalité ne me donnait pas grand-chose. (…) Je suis allé sur place, j’ai vu la fille et le garçon, et je me suis trouvé devant les murs. Mais ces murs mêmes, et l’effort de m’être déplacé, le travail d’enquête, m’ont donné l’élan pour le film. »
Jacques Doillon