« Kalatozov (…) synthétise à la fois le formalisme lyrique d’Eisenstein, le rapport poétique à la nature de Tarkovski et l’intimisme expérimental de Sokourov (…) Les mouvements de caméra insensés et les surimpressions confèrent une expressivité inouïe à ces éléments qui s’acharnent sans trêve sur les géologues livrés à eux-mêmes et coupés du monde. »
Vincent Ostria, L’Humanité