« Lors d’un passage magnifique, Hideo et Junko fuguent vers le bord de mer, mais n’y trouvent que terrains vagues et zones en construction. Ils sont alors les petits-cousins des gamins errants du néoréalisme italien ou des 400 Coups : rejetons d’une modernité qui ne veut pas d’eux et ne leur promet rien. »
Mathieu Macheret, Le Monde