« La façon dont Reichardt esquisse en filigrane la trajectoire de ce Huckleburry Finn éteint et résigné est magnifique. Il pose la dernière pierre de l’édifice politique du film : la colonisation et les inégalités sociales sont particulièrement violentes lorsqu’elles s’opèrent dans une quiétude d’apparat. »
Marin Gérard, Critikat.com