« Le travail sur le temps que mène Kore-eda est particulièrement fin, comme infusé à l’ensemble de son film (et au-delà, de sa filmographie) : on y interroge ce que signifie faire son deuil (…), vivre dans le présent (« on doit remercier l’époque, toute mesquine qu’elle soit »), dépasser les histoires d’amour (« on n’aime que ce que l’on a perdu »).
Axel Scoffier, Critikat