« Sur ce classique argument de comédie, […] Akerman va construire une double projection, un rêve de cinéma, un cinéma de rêve. […] Avec ce Divan à New York qui raconte la réconciliation de deux personnages avec eux-mêmes puis avec les autres, elle lance un pont entre deux mondes, entre deux cinémas qui s’ignoraient. »
Frédéric Bonnaud, Les Inrockuptibles