Jocelyne Saab filme une rencontre amoureuse rendue possible par la guerre, au cœur d’une ville en ruines.
« Ce qui structure le film plus qu’autre chose, c’est la vérité et la beauté (ontologique) de ses images, qui nous amènent petit à petit vers l’idée que la fiction, ce n’est pas le film, mais plutôt la réalité présente à Beyrouth. »
Les Cahiers du cinéma